Pourtant on parle seulement ici que d'élément mécanistique... dites-
En clair, bien que sur quelques aspects la science peut être extraordinaires, il ne faut toutefois JAMAIS oublier que celle-
3. La science matérialiste.
Cette science est matérialiste à l’inverse de l’humain !
Vous voyez sur la nutrition on pourrait déjà presque tout savoir, si on partait du postulat que nous n’étions pas noyés dans un flux d’informations toujours plus lourd et en majeure partie plus contradictoires les unes que les autres... Sans parler du fait que notre culture/éducation nous a baigné dans l’océan des lobbies qui nous ont embarqués avec ce courant qui n’a eu de cesse de fausser nos jugements et nos perceptions sans même y faire cas.
« Nageons à présent ENSEMBLE à contre-
Combien sont les professionnels dans le domaine de la Santé et de la nutrition qui ont pour vocation d’aider les gens ? Des milliers ! Pourtant il y a toujours autant, voire de plus en plus d'échec ! Le thème principal qui doit avoisiner les 90% sont des problèmes liés à comment résister à la tentation ou comment se passer de la malbouffe !
Au bout d’un moment, ne faut-
Serait-
A force de lectures, de mon évolution propre, j’en suis arrivé à cette conclusion que ma logique m'amène à croire, que nos émotions n’y sont pas pour rien. Au-
Je ne pense pas être dans le faux ! Les émotions forment la trame de notre vie mentale et elles nous définissent à nos yeux et aux yeux des autres. Les 6 émotions fondamentales identifiées par Ekman sont la joie, la tristesse, la peur, la colère, la surprise et le dégoût.
« Aparté : vous verrez un peu plus tard que certains scientifiques ont établi un spectre des émotions un peu plus large ».
Il ne faut toutefois pas confondre émotion et sentiment. Cette différence réside dans le fait que le sentiment ne présente pas une manifestation réactionnelle. Néanmoins, une accumulation de sentiments peut générer des états émotionnels. Chaque individu agit (réagit) généralement d'une manière déterminée par son état émotionnel.
Il est, à mon sens, clair et implacable que nos émotions auraient, inévitablement, des influences sur notre comportement comme sur notre Santé.
« Nos émotions négatives se trouvent vite résumées par un terme devenu générique à émotions, le STRESS :
Angoisse, insatisfaction, anxiété, exaspération, tristesse, inquiétude, agacement, frustration, dégoût, etc. Ces expériences émotionnelles négatives entraînent des réactions physiques et mentales pénibles qui nous laissent ultras tendus.
Le stress remet en jeu notre équilibre et notre bien-
Pour en revenir au sujet, il est donc pour moi fort probable que les craquages (comme les privations) alimentaires arrivent majoritairement lorsqu’un individu est stressé, soit à la suite d’une réaction liée à une émotion négative.
Les études utilisent toujours des variables mesurables comme le poids, la masse grasse, les calories ingérées. etc... Logique et normal, afin de comparer. La problématique, c'est qu'on tire des conclusions sur des données qui font totalement abstraction de ce qui nous différencie des objets inertes qui sont les trois protagonistes de notre vie : sensations, émotions, pensées.
L'interaction entre le corps et l'esprit se manifeste au quotidien et pourtant... il est clair que l’idée la plus courante chez l’homme est de considérer le corps d'un côté et les mouvements de l'esprit de l'autre. Hélas, la science ne mesure guère cet aspect pourtant en lien avec le comportement alimentaire.
La route sera bien longue pour que la science analyse l'aspect psychologique sur le comportement alimentaire, nous en sommes qu'aux prémices. En espérant que celle-